mercredi 30 juin 2010

Vois tes maux, ils s'enfuient

Un tout petit moment pour te dire mes hommages

Je n'ai eu de tes yeux qu'un souvenir sans fruit

Pour souffler sur ta vie, une oraison sans bruit

Une prière au temps, un temple sans image.

2 commentaires:

Sil a dit…

En credo l'encens
Prête ses volutes
Flâneuse à tes dire.

Milun a dit…

Prêtes au vent
tes pensées
tes formes innommées.