mercredi 11 décembre 2013

Celui qui prend un enfant au berceau, l'élève, le prive de toute liberté et le tue pour le bouffer, qu'est-il ?


Je comprends qu'on ai droit de tuer pour vivre, quand on n'a pas le choix, ce qui n'est pas le cas dans l'immense majorité des cas et reste l'alibi permettant de cautionner l'argument de l'absence de torture lors de gourmandises qui se veulent éthiques ...

Mais quand on a le choix, qu'est ce qui justifie le fait de tuer une vie qui en sus et la grande majorité du temps a été privée de toute liberté dès la naissance, et ce dans le seule but de satisfaire votre confort : L'esclavage n'est-il pas déjà la première des souffrances ? Emprisonner quelqu'un n'est ce pas le faire souffrir ?

Ainsi, ce que nous nommons notre humanité c'est ce qui nous vient des animaux ... la croissance de notre cerveau affecte plutôt nos capacités à nous projeter et à nous reprogrammer, donc entre autres, à sublimer nos émotions ou ... à nous en déposséder ...

Donc, est-il normal de mettre en esclavage, de priver de liberté, de toute affection, puis de tuer des êtres nés pour vivre libres ?

L'esclavage et la privation d'amour depuis la naissance jusqu'à la mort est-elle une souffrance, oui ou non ?

Celui qui prend un enfant au berceau, l'élève, le prive de toute liberté et le tue pour le bouffer, qu'est-il ?

lundi 14 octobre 2013

Au début était la faute

La grande route est belle et son souffle me foudroie. je suis heureux globalement pas vous , n'est ce pas chez vous le cas ? Je vous aime vous savez. Mais bon, je dois tout vous dire, mes larmes sont impuissantes à calmer ma douleur ... j'ai fauté ... Oui, j'ai fauté et je ne me le pardonnerai jamais ... mais je dois me relever. En attendant, assis, je grogne contre moi même. Je fais le buffle. Soudain, un âne passe et me parle sur un événement à venir qui va, dit il transformer ma vie de buffle ... Je le regarde passer, disponible et heureux. Soudain, un âne passe et me parle sur un événement à venir qui va, dit il transformer ma vie de buffle ...
L'histoire se répète, et laboure des sillons rayés qui nous sautent à la gorge comme un prédateur sur sa proie Où est le laboureur ? le paysan des gouffres, qui soulèvera pour nous le bras et son saphir, vaincre les précipices ... Et cette folle en flamme nichée sur l'estrade des serments qui toute précise vise le centre de l’œil, touche et recrache notre propre sang. Où est le laboureur ? le paysan des gouffres, qui soulèvera pour nous le bras et son saphir, vaincre les précipices ...

lundi 5 août 2013

Pluie d'été

Sous la douche en couleur
Sous la lumière dorée
Inonde en mots douceurs
Ta peau de voiles nacrées

Couleurs galets

Baisers de pierre,
Douces heures de mère,
Forment à l'envie
Poissons de vie.

Photo : Essas pedras de rio pintadas são maravilhosas não acham? Várias possibilidades de decoração! Onde vocês a usariam?

vendredi 2 août 2013

Green OuTWAL

Sur le chemin de pierre
Un mur te dessine,
et puis dance de vert.



jeudi 1 août 2013

Étinciel

Où brillent les monts d'or,
Quand montent vers le ciel
les rivières d'argent.
Dans les yeux du géant,
Se trouve ta cité.


Grande Mère

Déversant les étoiles,
de sa cruche d'éther,
Dans l'océan du monde,
diffuse la nuée.

samedi 15 juin 2013

S'il vous plait, ... dessine moi une porte.

Voilà, nous sommes au matin du 15 juin de l'an 2013 de ce monde et, j'ai pensé à vous octroyer la punition que vous méritez.

Cette punition consistera à découvrir un monde à nul autre connu, à l'explorer, à en découvrir les merveilles, les dangers et à en ramener l'un des trésors, que vous pourrez conserver ou offrir à votre convenance, mais que vous devrez, pour m'en fournir la preuve, me présenter à votre retour, et me conter la façon que vous avez eu de l'obtenir.
Pour cela, je vais vous donner un secret, un grand secret : la façon de s'y rendre, une façon à la fois très simple d'apparence et particulièrement compliquée aux adultes qui ont oublié leur façon d'être enfant.

Comme vous le savez, tous les mondes, même s'ils nous sont proposés comme indépendants, sont, en réalité, reliés par un fond au maillage d'interconnexions subtiles et indéfinissables. Sur ce maillage viennent croître les illusions, comme la vie se greffe sauvagement sur une terre vierge ou plus harmonieusement au sein d'un beau jardin. Chaque monde est donc le fruit de la génération d'illusions enchevêtrée différentes, mais toutes posées sur le substrat de la matrice intemporelle et originelle.

Passer de l'un à l'autre est relativement simple en apparence, comme je vous l'ai précédemment précisé. il suffit d'en dessiner la porte, les contours, la texture, la couleur, d'y introduire la clef, et d'oser la pousser.

mercredi 17 avril 2013

Else au cube

Elle danse l'évidence
Elle danse, l'Ève y danse
Elle danse, les vies dansent ...